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Culture Yuu'Baka
20 décembre 2012

Dark Souls Prepare to Die Edition

Titre: Dark Souls Prepare to die Edition

Plateforme: Xbox 360 / PC / Playstation 3 ( testé sur PS3)

Année de sortie: 2012 ( Edition original 2011)

Genre: RPG Dark Fantasy

Editeur : Namco Bandai

Développeur :  From Software

 

Autre épisode de la série:  Demon’s Souls, Darks souls II ( Annoncé seulement)

 

 

 

Bien qu’ayant reçu nombre d’éloge par la critique et pas une grande majorité des joueurs demon’s souls fut un semi-echec commercial. Les joueurs n’ayant sans doute pas encore acquis assez d’aisance avec ce style si particulier. From Software et Namco Bandai n’en furent pas plus décourager et nous proposèrent quelques temps plus tard sa suite spirituelle Dark Soul, en ayant pris soin de mettre un peu d’eau dans son vin afin de faire passer la pilule plus facilement auprès des joueurs. Et ce fut enfin le succès attendu et mérité. Petit tour d’horizon de mon impression de Dark Soul en tentant un 100% no spoil !

 

 

 

 

 

 

 

I- Plus qu’un jeu, un concept !

 

Avant de se lancer dans Dark Soul il faut bien intégrer certaines notions, qui vont contrairement à l’inverse de la tendance de nos jeux vidéo actuels. Non, personne ne viendra vous prendre la main du début à la fin du jeu et vous expliquer pas à pas la marche à suivre pour zigouiller le vilain monsieur qui à kidnapper la princesse avant de tyranniser le joyeux royaume où l’on bouffe des champignons. Non, le jeu ne fera rien pour vous mettre à l’aise, mais rassurez-vous il ne fera rien non plus pour vous mettre mal à l’aise. Car en effet, bien que certains éléments soit inscrit dans le jeu, le joueur est au cœur de celui-ci. Après un bref prologue, le joueur est libre de visiter la quasi-totalité des zones proposées, mise à part quelques rares zones bloquées par la trame scénaristique. De plus, dans ces deux jeux, le plus simple, c’est de mourir. Autant être franc dès le début, les premiers ennemis du jeu sont tout à fait capable de sanctionner une faute d’inattention de quelques secondes, et ce même si vous en êtes à la fin du jeu avec un personnage ultra-boosté.

Cependant, une erreur est souvent commise par les joueurs. Ce n’est pas le jeu qui fait tout pour vous voir pitoyablement mourir. Vos morts ne sont que le résultat de mauvais choix de votre part. Petit élément qui rajoute un peu de joie dans vos morts et d’originalité  à ce jeu, dans Dark souls, chaque ennemi ennemis tué (avant les différents correctif, certains ennemis n’en rapportait pas) vous rapporte des âmes.  Âmes servant de point d’expérience mais aussi de monnaie d’échange pour l’achat de vos sorts, armes, armures etc. Ces âmes se regroupent donc dans un petit compteur sur votre ATH jusqu’à être dépensé. Mais en cas de mort, ce compteur se vide entièrement, et afin de retrouver la totalité de vos âmes la seule solution consiste à retourner sur le lieu du crime sans mourir une seconde fois (sinon bye bye les âmes !).

Le concept de cette série se révèle encore bien riche en détails inédits, je vous laisserai donc les découvrir lors de vos parties, l’essentiel ayant déjà été dit.

 

II- Histoire & Background

 

Parler de l’histoire sans spoiler va se révéler assez simple sur ce jeu. La vidéo d’intro dévoile la quasi-totalité de la trame scénaristique principale de ce jeu. Alors que le monde était plongé dans un cycle sans vie ni mort, des âmes apparurent. L’une se vit offrir à Izalith, une sorcière, Nito le premier des morts,  Gwen le seigneur de la lumière, et le furtif pygmée. Les dragons de pierre  libérés de leur état par l’apparition de la vie et les trois premiers seigneurs ayant reçu des âmes se battirent, la victoire revint aux seigneurs grâce à la trahison de Seath l’écorché, un dragon. Pendant tout ce temps, le furtif pygmée restant bien sagement dans l’ombre. L’âge de feu commença donc et perdura tout ce temps. Mais les flammes du feu ayant donnés la vie commencent à s’éteindre, ne restant que des braises. Une mystérieuse marque sombre apparut chez les humains, rendant agressif leurs morts. Et vous êtes l’un de ces morts menacé par la marque sombre.

Voici ce que je puis dire de l’histoire de Dark Souls sans trop spoiler, un autre article plus complet sur l’histoire est en préparation à l’heure où j’écris ces mots.

Concernant le background, là, beaucoup plus dur de ne pas spoiler.  Je n’en parlerai que vaguement, mais il faut savoir que le background pourrai être une raison suffisante pour acheter ce jeu et par la suite l’extension. Un background très riche, avec énormément de légende, qui nécessiteront de lire de nombreuse description d’objet pour n’en comprendre qu’une petite partie, notamment celle d’Artorias et de son compagnon Sif, où encore Magnus présent uniquement dans le DLC mais qui apporte réellement un énorme relief au personnage du joueur dans le background du jeu. Il faut savoir que la totalité, ou presque, des personnages du jeu ont une histoire, que ce soit les vendeurs, les entraîneurs et même les ennemis.

L’histoire et le background se révèlent dont être un énorme point fort du jeu, voir son ultime point fort pour certain. La façon dont le tout est raconté aussi est remarquable. Très peu de dialogue dans ce jeu, tout se passera par la lecture de description, l’observation et la déduction. Des notions assez compliqué à assimilé dans le monde des jeux vidéo actuel, foncez donc l’acheter ou patientez que l’article contenant un énorme spoiler sorte.

 

 

III- Gameplay

 

De la mort, tu apprendras. Voilà une phrase qui résume bien le gameplay de Dark Souls. Bien que toute mort, puisse être évitée, celle-ci viendra vous prendre à de multiples reprises. Mais cela reste bénéfique, car à chaque mort vous en apprendrez un peu plus sur le jeu, les patterns des ennemis, les chemins à prendre ou à éviter. Et lors de votre prochain passage vous passerez plus facilement. Darks Souls peut se voir un peu comme un jeu old school où il est nécessaire de recommencer plusieurs fois un passage pour bien le connaitre afin de réussir. En quelques sortes l’on peut dire qu’être un poil SM peut potentiellement aider à aimer le jeu.

Dark Souls fait tomber aussi la barrière si bien établi des jobs dans nos RPG. La classe de base de votre personnage, ne déterminera exclusivement que son équipement de départ et ses statistiques de départ, mais par la suite l’évolution de votre personnage ne dépendra que de vos choix, ce qui peut parfois provoquer des erreurs, mais encore une fois, elles vous en apprendront pour la suite. Un magicien de base commencera donc le jeu avec une petite dague, des habits très léger, et un catalyseur pour lancer le tout premier sort. Cependant rien n’empêche le joueur de faire de ce magicien, un guerrier portant une énorme armure, se battant avec un gros marteau et lançant peu de sort. Le joueur décide entièrement de tout, enfin !

Les connaisseurs remarqueront que je n’ai pas parlé du mode online, qui pourtant aurait eu sa place dans la rubrique Gameplay. En effet, simplement, le mode online de ce jeu se révèle si complexe, avec un nombre de renseignement non négligeable à communiquer, que j’ai décidé exceptionnellement d’en faire une rubrique à part.

 

III Bis – Gameplay Online

 

                Comme cité plus tôt, le mode online de Dark Souls se révèle très complexe, tout comme celui de son grand frère Demon’s souls, bien que sur la papier, rien ne semble d’une difficulté très extrême. Au moment où j’écris ces mots, j’ai eu suffisamment de temps pour me calmer et garder en moi le florilège d’insulte qu’aurait été cette rubrique suite à une partie en coopération avec Kei_Baka.

                Donc sur le papier, tout est simple. Un joueur qui aura obtenu une stéatite de marque blanche, sorte de petite pierre au bout pointu, déposera une marque au sol, sorte de signature qui est la même pour tous. Cette marque au sol apparaîtra dans le monde des autres joueurs sous forme humaine qui n’auront qu’à cliquer dessus pour invoquer dans leur monde une sorte de fantôme du premier jouer. Simplicime n’est-ce pas ? Pas comme ces autres jeux qui se complique la vie, avec un message à envoyer à la personne avec qui l’ont souhaite jouer qui n’aura qu’à accepter l’invitation. Je sent la colère remonter, mais tout va bien aller. Mais attention, From Software et Namco Bandai vont encore plus loin, oui c’est possible. En effet, la marque du joueur peut très bien apparaître dans le monde d’autre joueur qui pour le coup n’en ont peut-être rien à contre-balancer, de cette marque d’invoque et refuser de s’afficher dans le monde de votre amis qui de son côté commence à perdre patience.

                Voici les astuces que nous avons jusque-là put glaner sur internet ou au fruit de diverse expérimentation :

- Vérifier bien que le joueur tentant d’invoquer est bien sous forme humaine. Cela parait idiot mais cela nous est déjà arrivé.

- Etre dans le même serment ( sorte de religion) permettrait d’augmenter vos chances de trouver votre partenaire. Il semblerait que le serment voie  immaculé soit celui qui marche le mieux dans ce cas.

-Si l’invocateur ne voit pas la marque de son partenaire, alors il pourra déposer sa propre marque, l’enlever rapidement, attendre environ une minute le temps que toute les marques le souhaitant s’affiche, puis répéter l’opération jusqu’à réussite ou perte de patience. Il semblerait que le fait que l’invoqué change de place sa marque de temps en temps puisse aider.

- Le boss de zone doit être vivant dans le monde de l’invocateur, pas obligatoirement dans le monde de l’invoqué.

-Et enfin, pour éviter les prises de tête parce que vous cherchez la marque de votre ami et que celui-ci se fait invoquer dans un autre monde qui n’est pas le vôtre. Pensez à déposer vos marques un peu à l’écart du chemin , un peu caché. Un endroit trop bien caché pourrait soit compliqué l’accès à l’invocateur ou même finir par devenir le regroupement de marque d’invocation donc choisissez bien.

 

     Et voilà qui est déjà bien long et pourtant ce n’est pas encore finit. L’article sur Dark soul va définitivement être le plus long, après tout il y a tant de chose à en dire, même sans spoiler. Donc mis à part la coopération, il y a aussi du PVP.  Je ne m’y allongerais pas autant en détails que pour la coopération pour la simple raison que je ne l’ai pas testé et que les guides dont j’ai pu me servir n’en parlait pas non plus.

Pour ceux qui ne sauraient pas, ceux qui vivent dans une grotte, PVP signifie Player Versus Player, joueur contre joueur. Donc le PvP se divise en deux puis trois catégorie avec l’arrivée du DLC. La première catégorie, que je nommerais PvP choisi se déroule sensiblement de la même manière que la coopération, à la différence près que la stéatite sera de marque rouge et non jaune. Ensuite, un point très original de ce jeu, mais qui peut énerver par moment, le PvP Sauvage, ou Invasion. Comme son nom l’indique, il s’agira ici d’envahir le monde d’un joueur sous forme humaine afin de le tuer et de récupérer des âmes. Pour cela vous aurez différents choix, deux pour être précis :

-Utiliser un des objets prévu pour. Vous aurez donc accès à différents objets qui vous permettront d’envahir sauvagement le monde d’un autre joueur, tout ceci à vos risques et périls.

-Deuxième solution, certain serment, vous donneront accès à un anneau qui une fois dans la zone d’action du serment vous fera envahir le monde d’un joueur remplissant les conditions.

Voilà tout ce que je peux dire sur le PvP de Dark Souls, et je pense aussi en avoir fini avec son mode Online, qui vous en conviendrez, ne se révèle pas d’une grande simplicité.

 

 

 

IV- Graphismes & Ambiance

                Dark Souls se diffèrent donc de ses concurrents par son gameplay old school, de son histoire mais surtout de sa façon spéciale de la raconter, mais aussi de ses graphismes qui donne rajoute une excellente couche à ce jeu, mais aussi un des gros points noirs selon moi.

                Soyons d’accord, oui, Dark Souls est beau, certains paysages se révèlent juste divin, aidé notamment par la grande ouverture du monde. Le design des zones est riche et divers, l’on passe d’une belle place forte très aseptisé aux égouts aux murs laissant s’échapper une substance visqueuse. Les monstres et notamment les boss sont très recherché, certains détails sur les boss ne se remarquant qu’à la quatrième ou cinquième fois. Certains font un peu office de fausse note, notamment un boss de lave, mais bon il faut toujours un peu d’imperfection pour garder l’utopie d’une perfection permettant de rêver à encore mieux.

                Après encore faut-il aimer la Dark Fantasy, c’est-à-dire un univers très fantastique que tout le monde connait, mais avec un coté très sombre, très pessimiste. Mis à part encore une fois quelques zone, notamment la place forte cité plus haut, vous serez souvent plongez dans une grande obscurité, ce qui représente malheureusement un des points négatifs du jeu. Je n’ai rien contre la dark fantasy, bien au contraire, son côté plus adulte, moins utopique me fait adhérer totalement, cependant Dark Souls gère mal parfois ce côté selon moi et certaine zone sont de vrai calvaire de par leur très mauvaise visibilité à la frontière entre le trop de luminosité et le trop peu.

                Rajoutez à cet univers une ambiance très pesante, très peu de musique, des personnages bien souvent au bord de la résignation, la mort qui vous guette à chaque instant, ce sont tout un tas de petit détail qui vous plonge dans une ambiance très pesante, qui finira par se sentir physiquement au bout de quelques heures de jeu. Bien que le jeu ne soit pas effrayant en lui-même, je l’avoue à de nombreux moment j’ai senti une boule au ventre en jouant à ce jeu, en me demandant ce qui m’attendra au tournant de cette angle au loin. Il faut avouez que la coopération en chat vocal casse un peu cette ambiance, bien obligé, mais si vous jouez tout comme moi avec une personne appréciant ce jeu, ne vous inquiétez pas trop, il se peut même que par moment, votre partenaire hausse encore l’ambiance, je pense notamment à une certaine caverne, mon partenaire devrait voir de quoi je parle.  

 

 

 

V- Conclusion

 

Nous arrivons tant  bien que mal à la conclusion de mes impressions sur Dark Souls, qui feront tout de même six belles pages sur Word. Vous l’aurez donc compris, j’ai tout à fait accroché à ce jeu qui m’a tout de même donner les plus mauvaises sensations par moment, mais qui m’a tant fait rêver par d’autre. Son concept si novateur, allié à son histoire et son background si riche font de Dark Souls un must have de cette génération, largement devant de grand blockbuster sans âme, mais encore une fois tout ceci ne sont que mes impressions.

 

Bon:

 

- Les Graphismes très énervant par moment mais qui reste juste éblouissant dans 90% du jeu.

 

- Un Gameplay  axés sur la difficulté et le Die and try again très addictif.

 

- Son background qui mérite à lui seul l’achat du jeu.

 

Mauvais:

 

-Des graphismes qui dans les 10% restant transformes ces quelques zones en torture.

-La caméra et la visée automatique, même après les modifications apportées.

-Le mode Online qui semble complétement baclé. Entre les téléportations pour backstab des ennemis en PvP et l’agacement engendré par l’impossibilité de retrouver la marque de son partenaire, de gros efforts sont attendu sur Dark souls II.

 

VI- Prepare to Die

Hé oui, vous l’aurez peut-être remarqué mais je ne parle quasiment pas du DLC dans ces impressions, pour la bonne raison qu’il bénéficiera d’une rubrique additionnelle, sans téléchargement et gratuite, voilà l’avenir du DLC ! Trèves de plaisanterie, attaquons cette septième page dans la joie et la bonne humeur pour parler du DLC Prepare to Die. Je tien juste à préciser que ces impressions ne se sont malheureusement pas faite sur le DLC en lui-même, mais sur le Guide du DLC  d’ExServ85, je n’en parlerai alors que très brièvement, et j’étofferais peut-être un jour cette partie, si je finis par céder à la tentation ou/et que le prix baisse.

 

                Amateur du Background, foncez sur ce DLC, qui est selon moi juste EPIC ! Il apporte de vrai nouveau éléments sur le jeu, notamment sur Artorias et Sif. Les décors proposés sont réellement splendide et les fan du jeu de base l’ayant déjà bien visité seront ravis de voir certains décors et de comprendre leur positionnement sur la carte.

                Au niveau des ennemis,  rien d’exceptionnel cependant, de nouveaux ennemis simpatique, mais sans plus. Ce sont le boss, qui rehausse le niveau, rendant les boss du DLC loin au-dessus de ceux du jeu de base que ce soit le look, le skill ou le background.

                Les loots sont très moyen, sauf pour les sorciers. Les nouvelles magies qui pour le coup j’ai déjà pu tester mais pas dans le bon sens, sont réellement un vrai plus. Les envahisseurs mages en use et abuse et à juste titre. Pour le stuff, il ne faut pas chercher une armure avec d’excellent stats. Mais pour ce qui est du look de armures, je trouve qu’il n’y a pas de comparaison possible, le DLC contient ce qui se fait de mieux. Pour ceux ayant vu le guide d’ExServ85, je suis tombé amoureux de l’armure qu’il porte et celle du premier PNJ que l’on croise.

 

                En conclusion, ce DLC se révèlera très sympathique pour ceux voulant en découvrir beaucoup sur le background, notamment celui du personnage et de certaine légende du jeu dont on ne sait que très peu. Les magiciens seront comblé par les nouvelles sorcelleries et les amateurs de look, qui comme moi ne trouve aucune armure réellement très belle dans le jeu normal, seront ravi par le stuff que l’on pourra y trouver. Si vous n’y chercher que des combats de boss, il sont certes plus dur que ceux du jeux normal, mais ne sont que quatre dont un optionnel, mais en le loupant, vous rateriez un combat encore une fois EPIC !

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